Il est un signe de modernité qui est flagrant : la mode. Avez-vous remarqué qu’en quelques années à peine, les chemises et les robes à fleurs, typiques de notre Fenua, ont pratiquement disparu des rues de Papeete ? Même le fameux « vendredi Tahiti » n’est plus à la mode. Loin de moi de vouloir jouer les nostalgiques d’une époque qui passe, il s’agit juste d’un constat. Un constat de modernité.
Toute entreprise de formation professionnelle sérieuse se doit d’inscrire résolument son activité dans le 21e siècle. C’est un challenge que les professionnels de la formation en Polynésie française doivent relever à chaque mission : aider à la construction des métiers avec des idées modernes et inscrites dans le temps présent.
Notre Fenua est en plein bouleversement, peu à peu le Monde et ses habitudes nous attrape, nous change, avec ses satisfactions et ses insatisfactions, particulièrement dans l’espace professionnel. Il n’y a qu’à regarder autour de soi : nouveaux visages pour les boutiques en ville ou sur la presqu’île, nouvelles normes (sécurité, hygiène, qualité, organisation,…), nouveaux comportements : des consommateurs, des salariés, des acteurs de la vie publique. La diffusion rapide de cette « normalisation occidentale » s’explique aisément par l’ambiance hyper-communicante de ce 21e siècle.
Les consommateurs ont changé : il est courant maintenant (pour ma part, je le pratique plusieurs fois par semaine) de comparer les prix des produits ou des services proposés localement avec ceux trouvés sur internet. Cet internet, qui a révolutionné les modes de consommation : il ne viendrait plus à l’idée de quiconque d’ouvrir une boutique de CD musicaux, à l’heure où un morceau de musique se télécharge légalement en 30 secondes pour moins d’1 €.
Les salariés ont changé : de mieux en mieux informés sur leurs droits légitimes, certains abus patronaux ne passent plus (le recours à la justice est maintenant commun dans ce domaine) ; la sécurité au travail ou les risques professionnels sont des sujets d’actualité au sein des CE.
Les administrations sont en train de changer : des normes de plus en plus contraignantes ; un besoin important de faire rentrer les cotisations, taxes et autres impôts ; des agents qui affichent une volonté de faire évoluer le système.
Ce changement est pour moi le symbole de ce début de 21e siècle en Polynésie française. Est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle ? Je n’ai pas la réponse. Ce que je sais, c’est qu’il est urgent de s’adapter à ces évolutions de la société tahitienne. Et c’est bien grâce à des actions de formation professionnelle ciblées sur les besoins de chacun que les organisations polynésiennes privées ou publiques du 21e siècle pourront faire face à ces nouveaux défis.
Les organismes de formation qui ont bien compris cette transformation en cours sont les partenaires privilégiés de ce monde professionnel en pleine mutation.
Alors, bienvenue au 21e siècle !
Alexandre Chodzko
Gérant de Tahiti Formation Pdt du Syndicat de la Formation Professionnelle et du Conseil en Management (Affilié CGPME) Juge consulaire au Tribunal de Travail
Il est un signe de modernité qui est flagrant : la mode. Avez-vous remarqué qu’en quelques années à peine, les chemises et les robes à fleurs, typiques de notre Fenua, ont pratiquement disparu des rues de Papeete ? Même le fameux « vendredi Tahiti » n’est plus à la mode. Loin de moi de vouloir jouer les nostalgiques d’une époque qui passe, il s’agit juste d’un constat. Un constat de modernité.
Toute entreprise de formation professionnelle sérieuse se doit d’inscrire résolument son activité dans le 21e siècle. C’est un challenge que les professionnels de la formation en Polynésie française doivent relever à chaque mission : aider à la construction des métiers avec des idées modernes et inscrites dans le temps présent.
Notre Fenua est en plein bouleversement, peu à peu le Monde et ses habitudes nous attrape, nous change, avec ses satisfactions et ses insatisfactions, particulièrement dans l’espace professionnel. Il n’y a qu’à regarder autour de soi : nouveaux visages pour les boutiques en ville ou sur la presqu’île, nouvelles normes (sécurité, hygiène, qualité, organisation,…), nouveaux comportements : des consommateurs, des salariés, des acteurs de la vie publique. La diffusion rapide de cette « normalisation occidentale » s’explique aisément par l’ambiance hyper-communicante de ce 21e siècle.
Les consommateurs ont changé : il est courant maintenant (pour ma part, je le pratique plusieurs fois par semaine) de comparer les prix des produits ou des services proposés localement avec ceux trouvés sur internet. Cet internet, qui a révolutionné les modes de consommation : il ne viendrait plus à l’idée de quiconque d’ouvrir une boutique de CD musicaux, à l’heure où un morceau de musique se télécharge légalement en 30 secondes pour moins d’1 €.
Les salariés ont changé : de mieux en mieux informés sur leurs droits légitimes, certains abus patronaux ne passent plus (le recours à la justice est maintenant commun dans ce domaine) ; la sécurité au travail ou les risques professionnels sont des sujets d’actualité au sein des CE.
Les administrations sont en train de changer : des normes de plus en plus contraignantes ; un besoin important de faire rentrer les cotisations, taxes et autres impôts ; des agents qui affichent une volonté de faire évoluer le système.
Ce changement est pour moi le symbole de ce début de 21e siècle en Polynésie française. Est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle ? Je n’ai pas la réponse. Ce que je sais, c’est qu’il est urgent de s’adapter à ces évolutions de la société tahitienne. Et c’est bien grâce à des actions de formation professionnelle ciblées sur les besoins de chacun que les organisations polynésiennes privées ou publiques du 21e siècle pourront faire face à ces nouveaux défis.
Les organismes de formation qui ont bien compris cette transformation en cours sont les partenaires privilégiés de ce monde professionnel en pleine mutation.
Alors, bienvenue au 21e siècle !
Alexandre Chodzko
Gérant de Tahiti Formation Pdt du Syndicat de la Formation Professionnelle et du Conseil en Management (Affilié CGPME) Juge consulaire au Tribunal de Travail
Il est un signe de modernité qui est flagrant : la mode. Avez-vous remarqué qu’en quelques années à peine, les chemises et les robes à fleurs, typiques de notre Fenua, ont pratiquement disparu des rues de Papeete ? Même le fameux « vendredi Tahiti » n’est plus à la mode. Loin de moi de vouloir jouer les nostalgiques d’une époque qui passe, il s’agit juste d’un constat. Un constat de modernité.
Toute entreprise de formation professionnelle sérieuse se doit d’inscrire résolument son activité dans le 21e siècle. C’est un challenge que les professionnels de la formation en Polynésie française doivent relever à chaque mission : aider à la construction des métiers avec des idées modernes et inscrites dans le temps présent.
Notre Fenua est en plein bouleversement, peu à peu le Monde et ses habitudes nous attrape, nous change, avec ses satisfactions et ses insatisfactions, particulièrement dans l’espace professionnel. Il n’y a qu’à regarder autour de soi : nouveaux visages pour les boutiques en ville ou sur la presqu’île, nouvelles normes (sécurité, hygiène, qualité, organisation,…), nouveaux comportements : des consommateurs, des salariés, des acteurs de la vie publique. La diffusion rapide de cette « normalisation occidentale » s’explique aisément par l’ambiance hyper-communicante de ce 21e siècle.
Les consommateurs ont changé : il est courant maintenant (pour ma part, je le pratique plusieurs fois par semaine) de comparer les prix des produits ou des services proposés localement avec ceux trouvés sur internet. Cet internet, qui a révolutionné les modes de consommation : il ne viendrait plus à l’idée de quiconque d’ouvrir une boutique de CD musicaux, à l’heure où un morceau de musique se télécharge légalement en 30 secondes pour moins d’1 €.
Les salariés ont changé : de mieux en mieux informés sur leurs droits légitimes, certains abus patronaux ne passent plus (le recours à la justice est maintenant commun dans ce domaine) ; la sécurité au travail ou les risques professionnels sont des sujets d’actualité au sein des CE.
Les administrations sont en train de changer : des normes de plus en plus contraignantes ; un besoin important de faire rentrer les cotisations, taxes et autres impôts ; des agents qui affichent une volonté de faire évoluer le système.
Ce changement est pour moi le symbole de ce début de 21e siècle en Polynésie française. Est-ce une bonne ou une mauvaise nouvelle ? Je n’ai pas la réponse. Ce que je sais, c’est qu’il est urgent de s’adapter à ces évolutions de la société tahitienne. Et c’est bien grâce à des actions de formation professionnelle ciblées sur les besoins de chacun que les organisations polynésiennes privées ou publiques du 21e siècle pourront faire face à ces nouveaux défis.
Les organismes de formation qui ont bien compris cette transformation en cours sont les partenaires privilégiés de ce monde professionnel en pleine mutation.
Alors, bienvenue au 21e siècle !
Alexandre Chodzko
Gérant de Tahiti Formation Pdt du Syndicat de la Formation Professionnelle et du Conseil en Management (Affilié CGPME) Juge consulaire au Tribunal de Travail